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Catégorie : SCIENCES/EDUCATIONS
Comment soutenir et encourager la recherche et le développement pour l’éducation tout au long de la vie ? Les principaux axes du rapport “Vers une société apprenante”
Paris, le 27 mars 2017
François Taddei – co-fondateur et directeur du Centre de Recherches Interdisciplinaires (CRI) – s’est vu confier par la Ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Najat Vallaud-Belkacem, une mission d’étude visant à améliorer la qualité des apprentissages tout au long de la vie et à faire de la France une société apprenante, le 26 Septembre dernier. Cette mission s’est basée à la fois sur une large concertation scientifique et institutionnelle et sur un débat public en ligne sur le site apprendredemain.fr
La mission a consisté à, tracer des perspectives de ce que pourrait être une véritable R&D de l’éducation tout au long de la vie, c’est-à-dire une recherche et développement – comprise comme un investissement d’avenir – permettant d’améliorer la qualité et l’efficacité du système éducatif et de « faire que la France devienne une société réellement apprenante. Une société où tous les potentiels individuels et collectifs se réalisent grâce à une formation de qualité dès la petite enfance et tout au long de la vie ».
La réflexion s’est concentrée sur les leviers et les environnements pouvant favoriser le développement personnel et professionnel à tous les âges et permettre l’engagement et la réussite de tous.
Une liste de 10 propositions émane du rapport. Si elles ne résument pas l’ensemble des mesures nécessaires au changement de culture attendu, elles représentent des leviers décisifs, sélectionnés en fonction des critères suivants :
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ambition et contribution à la mise en place d’une société apprenante
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faisabilité technique et financière
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acceptabilité et appropriation par les différents acteurs
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mesures qui individuellement peuvent avoir un impact positif via un effet de levier aussi important que possible
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complémentarités des mesures qui, combinées, peuvent contribuer au changement systémique nécessaire.
Comme l’indique François Taddei en se fondant sur le rapport de la Stratégie Nationale de l’Enseignement supérieur : « Inventer l’éducation supérieure du XXIe siècle suppose de passer à une pédagogie active, intégrant les apports du numérique et appuyée sur la recherche, qui pourrait bénéficier d’un grand programme de recherche sur la société apprenante. La transformation du rapport du savoir dans l’ère numérique implique des évolutions importantes dans la manière d’enseigner : l’usage du numérique doit être systématisé dans les formations et l’évaluation des étudiants. C’est aussi un renforcement des activités collaboratives, favorisant le travail en équipe, et contributives, qui est proposé. Tout ceci suppose que le système devienne plus agile, et en particulier adopte la « culture du oui », pour favoriser les expérimentations et l’innovation. »
Les orientations du rapport donneront lieu prochainement à des échanges dans les académies et avec les acteurs de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Elles serviront notamment pour la préparation des appels à projets qui seront lancés avec l’appui du nouveau programme des investissements d’avenir qui pour la première fois a mis en avant l’innovation pédagogique dans la formation initiale et identifier des moyens nouveaux pour soutenir la création de territoires d’innovation pédagogique dans l’enseignement scolaire et dans l’enseignement supérieur.
La vision d’une société apprenante pour notre pays et les 10 propositions du rapport seront présentées le 28 Mars lors d’une conférence internationale à L’Institut Pasteur. Près de 350 participants poursuivront les travaux en ateliers collaboratifs pour dégager des pistes concrètes d’action.
La synthèse du rapport :
Vers une société apprenante
En savoir plus :
Accès direct à la plate-forme de débat
Venez passer une nuit à l’Ecole normale supérieure on vous explique !
Paris, le 11 mai 2016. Pour la troisième fois l’Ecole normale supérieure, le temps d’une nuit ouvre ses portes. Après la Nuit Sartre en 2013 et la Nuit des Sciences en 2014, cette année la Nuit Science et Lettres se décline autour du thème « Expliquer », le 3 juin 2016 à partir de 18h et jusqu’à l’aube.
L’amour et la mort, les bitcoins, l’immortalité en biologie, les simulations numériques, l’art contemporain et le post digital… pour essayer de comprendre ces thématiques et d’autres encore, pendant toute une nuit les enseignants, chercheurs, étudiants et artistes vont « Expliquer »… mais aussi montrer, transmettre, traduire, témoigner, autour de conférences, débats, films, spectacles, théâtre, expositions, installations artistiques et speed-dating. L’objectif de cette Nuit est de faire ressentir le plaisir de la recherche et de la découverte en sciences et lettres et de rendre accessible à tous des sujets complexes.
Le programme complet : www.nuit.ens.fr, périscope, twitter, facebook
Les partenaires
Ensad, ESPCI, France Culture, Institut Curie, l’Institut Français, Le Monde
L’Ecole normale supérieure ouvre ses portes
Pour la 1ere fois, L’École normale supérieure ouvre ses portes et donne rendez-vous le 13 février 2016 aux lycéens, aux étudiants et à leurs parents pour découvrir l’École ses voies d’accès, ses formations et ses débouchés.
Les directeurs des études, les enseignants, les élèves guideront les visiteurs le temps de cette journée et répondront à leurs questions. Ils présenteront la vie de l’école mais aussi les formations, de la licence au doctorat des 15 départements de l’École normale supérieure: Biologie, chimie, Économie, Études cognitives, Géographie, Géosciences, Histoire, Histoire et théories des arts, littératures et langages, informatique, Mathématiques, Philosophie, Physique, Sciences de l’Antiquité, Sciences Sociale.
On peut rentrer à l’ENS et sans passer par une classe préparatoire
Au-delà du concours exigeant réussi par 5 % des élèves des classes préparatoires, il est possible d’intégrer Normale’Sup tout au long du cursus universitaire.
Chaque année, un second concours, sur dossier et entretien permet de recruter 120 étudiants de l’Université, de grandes écoles ou de prépas. Les étudiants suivent le même parcours que les élèves sans toutefois percevoir avoir de salaire ni être soumis à l’obligation décennale.
L’ENS Ulm recrute aussi au niveau un Bac+5 pour y préparer une thèse.
Il y a enfin les masters ou doctorats cohabilités avec l’ENS Ulm: les étudiants reçoivent un diplôme décerné par plusieurs entités universitaires dont l’ENS Ulm.
On peut choisir son cursus
Quelle que soit la discipline d’entrée d’un normalien, il choisit et organise son cursus en fonction de ses compétences et ses aspirations , avec l’aide de son tuteur, tout au long de sa scolarité. Un élève entré en économie, peut sortir agrégé de philosophie, et commencer une thèse en sciences cognitives.
L’ENS est une école Internationale
Les élèves effectuent en master des stages à l’étranger et l’École normale supérieure a conclu plus de 200 partenariats avec des universités sur les 6 continents. L’École accueille chaque année 250 étudiants étrangers.
De nombreux débouchés possibles
Les deux tiers des élèves s’orientent vers l’enseignement supérieur et la recherche, mais la formation des étudiants à l’École normale supérieure fondée sur la recherche offre des débouchés variés. Selon les parcours, créer une start-up, entrer dans une école d’art, préparer les concours de l’administration, sont autant de possibilités ouvertes par l’ENS à ses élèves.
Marc Mézard, directeur de l’École normale supérieur insiste : « Nous espérons avec ces premières portes ouvertes changer la perception de l’École. Les étudiants vont découvrir la richesse de nos formations. Ils vont aussi réaliser les nombreux débouchés possibles. »
Au programme :
De 10h à 18h
Visite de l’École, avec un départ par heure, guidée par les élèves
11h00 15h00 17h00
Rencontre avec les directeurs des études des départements, et session de questions et réponses
Le matin
Table ronde enseignants et élèves : Que fait-on à l’École normale supérieure ?
Table ronde enseignants et élèves : Une formation internationale
Table ronde anciens élèves : Les débouchés
L’après-midi
14h à 16h et de 16h à 18h
De nombreuses conférences courtes : « étudier les arts », « étudier la physique », etc.
Des guichets d’enseignants, de directeurs de départements, …
Rencontre avec les élèves sur la vie de campus
Renseignements : direction.etudes@ens.fr
La visite est ouverte aux classes de terminale sur rendez-vous
L’École normale supérieure et Mitsubishi Heavy Industries France (MHIF) créent deux nouvelles chaires ENS-MHIF en mathématiques et en physique.
Paris, le 17 décembre. Grâce au mécénat de MHIF France, l’École normale supérieure vient de recruter sur deux chaires ENS-MHIF
Dimitry Chelkak en mathématiques (analyse, probabilités et systèmes dynamiques)
et
Vyacheslav Rychkov en physique (physique des hautes énergies)
Nommés à compter de la rentrée 2016 par l’ENS, ces deux chercheurs sont reconnus au meilleur niveau international.
Dimitry Chelkak, né en1970, actuellement chercheur à l’Institut Steklov de Saint- Petersbourg et professeur invité à l’université de Genève, a reçu en 2014 le Prix Raphaël Salem. Il poursuit des travaux importants notamment sur l’invariance conforme du modèle d’Ising à l’interface des mathématiques et de la physique avec de multiples collaborateurs comme Stanislav Smirnov (médaille Fields 2010).
Vyacheslav Rychkov, né en 1975, actuellement chercheur au CERN, a reçu en 2014 le New Horizons in Physics Prize. On lui doit des travaux décisifs et inattendus sur le conformal bootstrap.
Grâce à ces deux chaires, l’ENS et MHIF souhaitent conjuguer activités de recherche au plus haut niveau d’excellence et de diffusion du savoir.
MHIF est une entreprise de renommée internationale développant des activités de haute technologie, notamment dans les domaines de l’énergie, de l’aéronautique et le domaine spatial. L’entreprise doit affronter des problèmes ardus en mathématiques et en physique. MHIF ambitionne de contribuer à l’accroissement des fondations théoriques aussi bien des mathématiques que de la physique et de lancer un partenariat scientifique allant dans ce sens avec l’ENS.
L’ENS est un établissement de recherche dont les départements de mathématiques et de physiques sont reconnus internationalement. L’ENS a la volonté de développer des partenariats avec des entreprises menant des activités de haute technologie. L’École normale supérieure compte 12 prix Nobel, 27 médailles d’or du CNRS, 10 médailles Fields parmi ses anciens élèves et est régulièrement distinguée au meilleur niveau français dans les classements et appels d’offres internationaux.
Ecole normale supérieure : Place aux filles
Paris, le 12 novembre 2015. L’École normale supérieure à travers une web série de 6 épisodes mettant en scène le témoignage de normaliennes, chercheuses, directrices de départements et doctorantes, décide de prendre à bras le corps l’accès des femmes aux filières scientifiques et aux carrières de professeures et de chercheuses en sciences fondamentales.
BLOG de l’ENS : http://femmes-scientifiques-ens.blogspot.fr
Ces films à destination des jeunes filles disponibles sur internet seront aussi diffusés dans les
lycées, les classes préparatoires pour inciter les étudiantes à investir des filières d’avenir et s’autoriser sans crainte de tenter le concours de l’Ecole normale supérieure.
Dans les 6 films les cinq chercheuses et directrices de laboratoire abordent sans tabou la place des femmes dans la science : l’auto censure, la peur de l’échec, l’image de la filière. Leur parole libre démonte un à un les clichés, tord le cou aux idées reçues et prouve, que les sciences «dures » sont accessibles à tous ceux qui ont un intérêt dans les matières scientifiques.
Ep. 1 : Place aux femmes scientifiques
Ep. 2 : Tentez votre chance !
Ep. 3 : Bouillons de cultures
Ep. 4 : La recherche du bonheur
Ep. 5 : En équilibre
Ep. 6 : Les clés de la mixité
VIDÉOS : https://www.youtube.com/playlist?list=PLp–TwPwLx1WFBxYxOtSrVWPBJoXmDED1
L’École normale supérieure souhaite pleinement investir la problématique de la mixité et de la diversité dans les sciences dures. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : En 2013, l’ENS sur 852 étudiants comptait 277 filles, soit 33 % pour 575 garçons. Alors que la parité est atteinte dans la filière « Lettres ». Les chiffres dégringolent en « Sciences » où elles ne sont que 8 %.
Marc Mézard, directeur de l’Ecole normale supérieure indique : « Le manque de jeunes filles touche
l’ensemble de la filière scientifique dans l’enseignement supérieur. Mais, L’ENS entend affirmer sa légitimité pour faire évoluer ces postures. » Et poursuit « l’Ecole normale supérieure est un acteur incontournable de l’enseignement et de la recherche en mathématiques, physique et informatique et doit être exemplaire par sa mission de service public. »
Une récente étude menée par le département des sciences sociales de l’Ecole soulève les
enjeux au coeur des problématiques sociales et politiques :
– ouverture sociale des classes préparatoires et des grandes écoles ;
– représentation des femmes dans les filières de sciences dites « dures » (Mathématique, Physique,Informatique).
Deux questionnements rarement croisés.
Ce qui se joue avant d’entrer en classe de prépa scientifique :
L’orientation post-bac montre une sous-représentation des femmes, dans les sections ayant trait aux mathématiques et à la physique, alors que biologie et géologie, associées à médecine présentent des taux de femmes supérieurs et égaux aux deux tiers des effectifs.
Outre la stagnation voire la diminution de la part des filières scientifiques dans l’ensemble des formations, les modes d’orientation scolaires et professionnels respectent toujours la structuration des filières entre un pôle dominant (masculin et élitiste socialement) et un pôle dominé (féminin et populaire socialement).
Entrer en classe prépa scientifique et alors ?
Dans les classes supérieures, avoir une mère ou une soeur ainée ayant ouvert la voie des sciences est déterminant dans la levée des stéréotypes sexués relatifs aux études scientifiques. Mais une fois en classe prépa, les cartes scolaires sont partiellement rebattues au profit des garçons et élèves d’origines sociales supérieures.
Les appréciations professorales sont fortement différenciées selon le sexe des élèves : aux filles « le sérieux », aux garçons « le potentiel ». Les élèves tendent eux-mêmes à se percevoir selon une partition sexuée qui correspond à ces jugements.
Les concours de l’ENS ne font qu’opèrer ensuite une sélection scolaire parachevant un processus entamé bien en amont.
Concours d’entrée à l’ENS et leurs effets
S’autoriser à présenter un concours réputé difficile apparaît comme une capacité socialement distribuée, les filles s’inscrivent moins que les garçons. Les filles disent plus que les garçons ne pas avoir le niveau (68%).
Les participants aux films
« C’est impossible de s’auto-évaluer sur un concours : il faut
essayer ! »
Anne Boutin
Directrice de département – Chimie
« C’était important pour moi d’aller dans une école
généraliste. »
Alexandra Colin
Doctorante – Biologie / Chimie
« On tire toujours son épingle du jeu, il faut se faire confiance
et se faire violence un petit peu pour se forcer à avoir de
l’ambition »
Ombline Lafont
Doctorante – Physique
« Ils sont tous formés par la recherche, ils passent je
pense un très bon moment à être formés par la recherche,
et puis il y en a qui vont faire autre chose, par exemple il y
en qui vont dans les entreprises, et dans les entreprises ils
vont parfois dans les centres de recherche et
développement, mais pas seulement, ils font autre chose. »
Yves Laszlo
Directeur adjoint Sciences ENS – Mathématiques
« Dans un sens, faire des maths ça m’aère de la musique et faire
de la musique, ça m’aère des maths, finalement je peux faire les
deux, beaucoup ! »
Gabriel Lellouch
Doctorant – Mathématique
« On trouve des normaliens dans tous les penseurs de la
société qui ont créé des directions nouvelles, ont eu des
idées originales, parce qu’ici, l’originalité est soutenue par
la liberté que l’on donne aux gens. »
Claire Mathieu
Directrice de département – Informatique
« Même les biais implicites ne sont pas figés dans le
marbre, on peut, en offrant des approches d’échange
entre les gens, changer ces biais là »
Sharon Peperkamp
Directrice de département – Études
CPER 2 : l’Ecole normale supérieure reçoit 32 millions d’euros
Paris, le 28 septembre 2015. L’École normale supérieure va bénéficier de la nouvelle génération de contrats de plan Etat-Régions 2015-2020 à hauteur de 32 millions d’euros (22 millions Etat, 7 millions ville de Paris et 3 millions Région Ile de France) pour réhabiliter une partie des 20 000 m2 du bâtiment qui abrite les laboratoires de recherche des départements de Géosciences, de chimie et de physiques (unités mixtes de recherche de l’ENS avec le CNRS ainsi que les universités Pierre et Marie Curie et Paris Diderot, et l’Observatoire de Paris).
Les laboratoires expérimentaux de chimie et une grande partie du département de physique installés dans un bâtiment des années 30 en mauvais état seront réhabilités. Ces travaux permettront de créer des locaux techniques, des laboratoires, des bureaux et des salles de conférences. Par ailleurs, le « grand hall » qui avait été aménagé pour recevoir initialement un accélérateur de particules Van Graaf sera transformé.
Marc Mézard, directeur de l’École normale supérieure « Nous saluons cet investissement indispensable pour rester au premier plan mondial dans ces domaines essentiels de notre recherche scientifique. l’État donne un signal fort dans sa volonté de se doter de laboratoires de recherche de premier plan dans un contexte mondial compétitif.»
Une première phase majeure de réhabilitation a été réalisée dans le cadre du CPER 2007-2013 avec une dotation de 32 millions d’euros. Ces fonds ont été utilisés pour remettre aux normes les dispositifs techniques tels que le traitement de l’air ou la boucle d’eau froide pour refroidir de manière écologique et responsable les expériences. Pour ce faire le 3e étage a été détruit puis reconstruit avec l’ajout d’un demi-étage supérieur hébergeant des équipements techniques.
Passeport Avenir étend son action au Maroc en partenariat avec la Fondation Marocaine de l’Etudiant
Paris, le 6 janvier 2015. La Fondation Marocaine de l’Etudiant et l’association française Passeport Avenir ont signé une convention de partenariat afin de développer et d’animer un réseau de jeunes leaders du monde économique issus de milieux défavorisés amenés à promouvoir la diversité au sein des entreprises et de la société civile.
Réunies par des partenaires communs issus du monde de l’enseignement et de l’économie, Passeport Avenir et la FME entendent renforcer les liens franco-marocains en matière de coopération associative et développer ensemble des solutions globales, inédites, porteuses d’égalité des chances.
Le programme sera abrité et mis en œuvre par la FME avec l’appui de Passeport Avenir. Sur l’année 2014/2015, cette alliance se traduit par les actions suivantes :
- Au Maroc, 50 étudiants de la FME vont bénéficier d’un tutorat professionnel à Casablanca et Rabat avec :
- 2 partenaires de Passeport Avenir : ALCATEL-LUCENT et deux filiales du Groupe ORANGE (Meditel & Sofrecom)
- les partenaires de la FME : BMCI, WAFASALAF, DELOITTE NEARSHORE Maroc, et la COSUMAR.
- En France, 6 étudiants marocains soutenus par la FME qui étudient dans des grandes écoles de commerce et d’ingénieurs intègreront le programme Passeport Avenir.
Du 11 au 14 novembre 2014, la première promotion de tuteurs marocains a reçu une formation dispensée par Passeport Avenir. Cette formation a pour objectif d’outiller les cadres bénévoles et de les préparer à réussir leur mission d’accompagnement d’un(e) étudiant(e) bénéficiaire.
Hamid Ben Elafdil, Président de la FME: « Notre partenariat avec Passeport Avenir est en parfaite continuité avec les actions de la Fondation Marocaine de l’Etudiant. Passeport Avenir nous permet d’étendre nos compétences et d’offrir ainsi un programme plus ambitieux à nos étudiants. C’est également une opportunité pour nos partenaires d’impliquer leurs cadres et leur management dans un projet soutenu par leur entreprises »
Benjamin Blavier, Délégué général de l’association Passeport Avenir : « Nous sommes ravis de travailler avec la FME qui depuis plus de 13 ans a permis à 800 bacheliers méritants d’accéder à des grandes écoles. Former des leaders différents est aussi vrai en France qu’au Maroc».
Le Master en alternance d’Euridis Business School : un Passeport pour l’emploi
Paris, le 1er décembre 2014 –Euridis Business School, école de commerce spécialisée sur la formation aux métiers du commerce B to B dans le secteur du numérique dévoile sa nouvelle étude sur l’employabilité des jeunes diplômés en Master Ingénieur d’affaires-Business developer à la sortie de leur formation. (Etude réalisée sur la promotion2013-2014 en 2014).
Des diplômés convoités lors de leur entrée sur le marché du travail
La demande de commerciaux avec une compétence sur les nouvelles technologies est supérieure à l’offre, en toute logique 96 % des diplômés qui intègrent le marché de l’emploi signent leur contrat en moins de un mois après la fin des cours, dont 87% en CDI. Il est à noter que plus de la moitié des étudiants sont recrutés par leur entreprise d’alternance.
Une rémunération très attractive et évolutive
Ce qui est rare est cher. Dès la fin de leurs études, les étudiants d’Euridis peuvent obtenir des rémunérations plus attractives que celles des grandes écoles de commerce. Ainsi, en 2013, le salaire moyen des jeunes diplômés de grandes écoles de commerce sur le métier d’ingénieur d’affaires était de 36.188€* brut annuel (fixe et variable). A la sortie d’Euridis : les diplômés peuvent compter sur une rémunération moyenne annuelle de 41.600€ (fixe + variable). Soit une rémunération supérieure de 15% aux rémunérations annoncées par la conférence des Grandes Ecoles.
L’étude montre aussi qu’un an après leur prise de poste les salaires évoluent de plus de 4.3% .
En ce qui concerne
Le métier d’Ingénieur d’Affaires : un métier porteur pour 2015
Une étude récente de Cadre Emploi indique que les Ingénieurs commerciaux seront les profils les plus recherchés de l’année 2015. Une formation commerciale BtoB en alternance sur un secteur technique est la meilleure clé pour une entrée réussie sur le marché du travail.
Les secrets de cette employabilité ?
Les entreprises sont à la recherche de commerciaux ayant suivi une formation professionnelle, complètement adaptée à leurs besoins et à leurs problématiques business, et qui les prépare à être totalement opérationnels à la fin de leur formation.
Passeport Avenir : rencontres Tuteurs Tutorés édition 2014
Soutenir l’étudiant en cas de difficulté, le conseiller dans la construction de son projet professionnel, lui apprendre les codes de l’entreprise… telle est la mission des 1200 tuteurs bénévoles engagés contre les inégalités au sein de l’association Passeport Avenir.
Le programme prévoit également des ateliers collectifs afin de faciliter l’accès des jeunes au monde professionnel, faire percevoir les enjeux au delà des études, susciter des vocations, accompagner et donner confiance, autant de facettes où l’intervention de l’entreprise complète, sans s’y substituer, le travail des familles et des acteurs de l’éducation.
PARIS (75017) – ISC Paris : 3 novembre 17H00
PARIS (75005) – Polytech’Paris : 04 novembre 18H00
LA MADELEINE (59) – Lycée Valentine Labbé : mercredi 5 novembre à 18H30
MARSEILLE (13) – Lycée Artaud de Marseille : jeudi 6 novembre 16H00-17H00
PARIS (75019) – Lycée Diderot : jeudi 6 novembre 16h30 – 18h30
SAINT-BRIEUC (22) – Lycée Chaptal : Jeudi 6 novembre
RENNES (35) – INSA : mercredi 12 Novembre 18H00-20H00
TOULOUSE (31) – INP : mercredi 12 novembre à 18H
ALBI (31) – Lycée Rascol : vendredi 14 novembre 14H00-15h30
PARIS (75016) – ISG : mardi 18 novembre à 18h
TOULOUSE (31) – INSA : jeudi 20 novembre 17h30
LILLE (59) – Centrale Lille : jeudi 20 novembre 14h00
PARIS (75013) – Télécom ParisTech : vendredi 21 novembre
PARIS (75003) – Lycée Turgot : vendredi 28 novembre 09h00-10h00