Fnade / Loi Economie Circulaire, les textes d’application doivent concrétiser la transition écologique

La loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à l’économie circulaire a été promulguée le 11 février 2020. Nous entrons maintenant dans la phase d’élaboration des textes d’application, qui doivent préciser la mise en œuvre opérationnelle des orientations de la LEC. La FNADE entend poursuivre ses contributions concernant les activités de collecte, de recyclage et de valorisation des déchets, afin que le déchet-ressource soit un levier déterminant dans la transition à mener. 

Les principales dispositions de la LEC confirment les orientations stratégiques adoptées dans la Feuille de Route de l’Economie circulaire, avec notamment la volonté de développer l’information du consommateur, le recyclage des déchets ménagers et professionnels, et la réduction du stockage des déchets.

Fabrice Rossignol, Président de la FNADE, précise : « La FNADE reste fortement mobilisée car ce sont bien les textes d’application, qui devront concrètement confirmer les ambitions de la loi et fixer les modalités opérationnelles permettant l’atteinte des objectifs. Nous allons donc participer activement avec des propositions concrètes, adossées à l’expertise des entreprises de la fédération, qui interviennent sur l’ensemble de la filière de la gestion des déchets – collecte, tri, recyclage, valorisation et élimination -. Cette loi est un projet collectif, un projet de société, au sein duquel nos entreprises, acteurs de l’économie circulaire au quotidien, ont un rôle majeur à jouer. »

La FNADE s’attachera en priorité aux textes concernant le recyclage et la réincorporation des matières recyclées car il est urgent de résoudre la situation critique des matières issues du recyclage qui ne trouvent pas de débouchés, et de favoriser durablement l’utilisation des matières recyclées car elles sont un levier important de lutte contre le dérèglement climatique. L’autre enjeu majeur est celui de la mise en place des nouvelles filières REP (Responsabilité Elargie du Producteur), notamment pour les déchets du bâtiment et les emballages des entreprises. Ces deux filières, aujourd’hui déjà performantes, nécessitent des études de préfiguration pour définir un modèle efficace et adapté en termes de volumes, de besoins, d’organisations.

Avec la création d’une quatrième ligne de production, le site Délifrance de Romans-sur-Isère (Drôme) conforte son rôle de pôle d’excellence de viennoiseries

Inaugurée le 21 mars 2019, la nouvelle ligne de production de viennoiserie surgelée de Romans-sur-Isère permet au site de conforter son rôle de pôle d’excellence industrielle à vocation internationale. Avec une capacité de production additionnelle de 25 000 tonnes, soit 1,5 million de viennoiseries par jour, Délifrance, entreprise du Groupe VIVESCIA, renforce ses positions pour accompagner la forte croissance du marché de la viennoiserie à l’international.

 Pour Ian Dobbie, Directeur général Délifrance : « Avec cette nouvelle ligne, Romans-sur-Isère est désormais un site unique sur le marché : par sa taille, sa capacité de production, sa flexibilité, sa capacité à évoluer et le savoir-faire de ses équipes, actuelles et à venir. Nous avons les moyens d’être compétitifs et de développer avec confiance notre offre sur des marchés haut de gamme à l’échelle internationale. »

Arnaud Carré, Directeur du site de Romans-sur-Isère, souligne « en confortant son rôle de pôle d’excellence industrielle, le site de Romans contribue aussi à la dynamique économique de la région. 60% des entreprises qui ont été mobilisées durant le chantier sont locales et 70 personnes ont d’ores et déjà été recrutées pour l’ouverture de cette quatrième ligne. »

 

  • 1,5 million de viennoiseries par jour, c’est ce que la nouvelle ligne est capable de produire : des croissants, pains aux raisins, pains aux chocolats et autres croissants fourrés, avec ou sans topping, petit ou grand format…. Au total, ce sont  25 000 tonnes par an de capacité de production qui s’ajoutent au 50 000 tonnes et déjà 70 emplois nouveaux créés, sur un total de 360 personnes sur le site.

 

  • En croissance depuis plus de 10 ans, le marché de la viennoiserie poursuit sur sa lancée: + 5% par an en moyenne en Europe. La croissance est de l’ordre de 4% pour le surgelé prêt à cuire et atteint même 6% pour le cuit surgelé. Et l’Asie et l’Amérique du Nord sont les deux zones les plus dynamiques en termes de croissance. La construction d’une quatrième ligne répond donc à un double objectif : disposer d’outils de production à la hauteur de la demande et garantir des produits  toujours plus qualitatifs et  compétitifs pour les clients de Délifrance. C’est aussi l’occasion de centraliser les compétences dans les métiers de viennoiserie pour disposer d’un pôle d’excellence unique à vocation internationale, pour servir à la fois l’Europe du Nord et du Sud, mais aussi l’Asie et l’Amérique du Nord.
  • Un chantier d’envergure, 0 accident répertorié: Ce projet, réparti sur 8000 m2 a mobilisé, pendant près de 10 mois, 450 personnes et 82 partenaires. Durant ce chantier, la sécurité était un préalable. Tous les prestataires ont été formés et sensibilisés systématiquement.
  • Polyvalente, une nouvelle ligne ergonomique, high-tech et vertueuse sur le plan environnemental : la ligne est « aérée » avec des machines espacées avec une ergonomie optimisée pour faciliter la conduite. Comme la ligne est capable de produire aussi bien des croissants que des pains au chocolat ou des pains aux raisins dans toutes les tailles, des équipements spécifiques ont été prévus pour faciliter les changements rapides de format, et limiter ainsi les perturbations et le stress associés pour tous les opérateurs lors de ces changements. Cette nouvelle ligne est aussi dotée de moteurs électriques économes en énergie et dispose de dispositifs de récupération d’énergie et de pompes à chaleur.

 Avec cette nouvelle ligne, Délifrance dispose d’une capacité de production et d’une flexibilité uniques que le marché, lui permettant de servir à la fois l’Europe, mais aussi l’Asie et l’Amérique du Nord, tout en garantissant des produits toujours plus qualitatifs et plus compétitifs.

Think Smartgrids publie une étude sur la transformation digitale des utilities Réussir le pari de l’intégration de la donnée au service des réseaux et de ses clients

Paris le 26 novembre  2018

Cette première étude, initiée par le groupe de travail données et transformation digitale de l’association Think Smartgrids, vise à décrire l’état d’avancement des projets de digitalisation des utilities européennes, les cas d’usage, freins et solutions à leur déploiement, en croisant les points de vue des gestionnaires de réseaux de transport et de distribution, des fournisseurs de solutions, ainsi que celui des institutions.

En 2017, Think Smartgrids a créé un groupe de travail qui a centré sa réflexion sur la transformation digitale des utilities, avec un focus sur les clés de la réussite pour réaliser cette transformation.

Le groupe a rassemblé une quinzaine de membres de l’association : Benjamin de Buttet de DCbrain et Thomas Lacroix de Cosmo Tech, qui ont piloté l’étude, ainsi qu’Accenture, Atos, SenX (ex Cityzen Data), Colombus consulting, la CRE, l’Ecole des Ponts ParisTech, GE Grid Solutions, Gimelec, Images & Réseaux, Nokia, RTE, Siemens, Strasbourg Electricité Réseaux, Trialog et Yélé.

Les contributeurs de l’étude se sont appuyés sur une série d’entretiens menés auprès d’une vingtaine d’acteurs clés (opérateurs de réseaux, fournisseurs, associations, autorité de régulation). Ces entretiens ont été croisés avec des données publiques datant de Juillet 2018.

Les travaux du Groupe de Travail Données et Transformation Digitale ont permis de dresser un état des lieux de la problématique données des opérateurs de réseaux, en observant leur réponse aux mutations des modes de consommation, aux enjeux de l’intégration des énergies renouvelables et au vieillissement de leurs infrastructures. Différents cas d’usage ont été étudiés :
La gestion de la flexibilité qui exploite les technologies de l’information et de la communication pour mieux intégrer les nouvelles formes de production décentralisées (énergies renouvelables) et de consommation (notamment les véhicules électriques), mais aussi pour optimiser l’utilisation des moyens de stockage d’énergie (batteries, etc.) et le fonctionnement du réseau ;
L’Asset Management, pour améliorer la gestion stratégique et opérationnelle de la maintenance et des investissements sur les infrastructures, en traitant un type et un nombre de données croissants, et développer la maintenance prévisionnelle ;
 Les projets des utilities autour de la donnée concernent aussi toute la chaîne de valeur : de la numérisation du contrôle commande à la mise en œuvre d’IoT (Industrial Internet Of Things) pour produire de la donnée, en passant par des applications d’analyse de données (Data Analytics) ou de nouvelles plateformes d’échange de données qui permettent, par exemple, de mieux gérer la flexibilité.
Cette première étude a permis de faire émerger plusieurs questions. Comment améliorer la qualité des données utilisées ? Où positionner le Chief Digital Officer dans la nouvelle organisation et quelles nouvelles compétences intégrer ? Comment accompagner l’évolution des organisations pour encourager des approches agiles ? Comment développer une roadmap autour de cas d’usage à fort impact opérationnel, en lien avec la transition énergétique ?

L’étude conclut que l’ensemble des opérateurs européens ont initié au moins un projet Data et entament une digitalisation croissante de leurs réseaux. A l’avenir, de nouveaux défis restent à relever, comme l’évaluation plus précise du retour sur investissement de leurs projets et l’intégration de nouvelles compétences à leur organisation.

 

Nouvelle gouvernance pour l’associationThink Smartgrids

Paris le 19 avril 2018

L’association Think Smartgrids qui rassemble les acteurs des réseaux électriques intelligents (smart grids) en France a tenu sa 3ème assemblée générale.  A cette occasion, elle a installé la nouvelle gouvernance votée par son Conseil d’administration. Olivier Grabette succède ainsi à la présidence de l’association à Philippe Monloubou qui devient premier vice- président.

Olivier Grabette, membre du Directoire de RTE, devient président de l’association Think smartgrids et succède à Philippe Monloubou, Président du directoire d’Enedis, dont le mandat arrive à échéance et qui prend la place de premier vice-président de l’association. Olivier Grabette poursuivra le développement de l’association à l’international grâce aux partenariats initiés par son prédécesseur en Indonésie, à Singapour, en Inde et au Sénégal et aura à cœur de rassembler les acteurs du smart grids en France autour des nouvelles thématiques émergentes : smart grids dans les territoires, stockage, auto- consommation, mobilité électrique notamment.

A cet effet, il aura pour mission la mise en oeuvre des 3 axes du plan d’actions 2018 de l’association : la construction d’une proposition de valeur pour les territoires smart, le développement d’une stratégie sur les smart grids au service de la mobilité électrique et la mise en place de l’accord signé en décembre dernier entre Think Smartgrids et le SeR.

Hugues de Bantel voit son mandat de 2ème Vice-Président renouvelé : il est co-fondateur et directeur général de Cosmo Tech. Antoine de Fleurieu, Délégué Général du Gimélec, conserve son mandat de Trésorier et Valérie-Anne Lencznar est confirmée dans sa fonction de Déléguée Générale.

Les membres de l’association, réunis pour leur traditionnelle assemblée générale, ont remercié le bureau pour son action dynamique au service de la filière smart grids lors de son mandat écoulé et plus particulièrement Philippe Monloubou pour l’impulsion donnée à l’association et son installation dans le paysage institutionnel et business français.

 

A propos d’Olivier Grabette :

 Olivier Grabette est membre du Directoire de RTE – Directeur Général Adjoint en charge du pôle Prospective, Expertise et Solutions depuis Octobre 2015.Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace et titulaire d’un DEA en automatisme, il a occupé de nombreuses fonctions dans l’ingénierie des réseaux de transport d’électricité en France et à l’étranger, avant de rejoindre les activités de maintenance de RTE en 2002. À partir de 2006, il occupe différentes fonctions de management au Centre National d’Expertise Réseau de RTE. En 2012, il crée la Direction de la R&D de RTE et devient en 2014 Directeur Général Adjoint de RTE chargé de l’Économie, des Marchés et de l’Innovation. En 2014, il accompagne la présidence de RTE dans le pilotage du chantier Réseaux Electriques Intelligents (Smartgrids) et devient en 2015 1er Vice-Président de l’association Think Smartgrids

 

A propos de Philippe Monloubou :
Philippe Monloubou est ingénieur diplômé de l’École Spéciale des Travaux Public et diplômé de l’Institut d’Administration d’Entreprises de Rennes. Entré dans l’activité Distribution d’EDF en 1979, il connaît les problématiques de développement local puisque, en parallèle à ses postes aux sujets variés, de Charentes à la Corse en passant par l’Ile-de-France, le Rhône et la Savoie, il fut notamment président de Rhône Pluriel Initiatives, association regroupant des partenaires économiques publics et privés afin d’accompagner les créateurs et les repreneurs d’entreprise. Il dispose aussi d’une expérience de l’international, puisqu’il a participé au développement d’EDF en Argentine et en Amérique du Sud. De 2011 à 2014, il était directeur Commerce France du Groupe EDF, gérant la relation avec les 27 millions de clients particuliers, entreprises et collectivités. Le 23 janvier 2014, il a été nommé président du Directoire d’Enedis et renouvelé à ces fonctions début 2018.

 

L’association Think Smartgrids et le Syndicat des Energies Renouvelables signent un partenariat pour développer une offre conjointe à l’international

Le 11 décembre, à l’issue de l’événement « Energies renouvelables ; les entreprises engagées pour le Climat » co-organisé par l’ADEME et le SER à l’UNESCO, un partenariat a été signé entre Philippe MONLOUBOU (Président de Think Smartgrids et du Directoire d’Enedis) et Jean-Louis BAL (Président du SER), visant à développer une offre conjointe réseaux intelligents – énergies renouvelables.

L’association Think Smartgrids et le Syndicat des énergies renouvelables (SER) mettent en place un partenariat pour promouvoir des offres conjointes à l’international dans le secteur des énergies renouvelables et des réseaux intelligents. Les deux signataires se sont accordés sur des actions de coopération communes afin de développer les capacités d’export et créer de nouveaux emplois en France dans ces deux filières. A ce jour, le secteur des énergies renouvelables représente 100 000 emplois, tandis que 15 000 personnes travaillent dans le secteur des réseaux intelligents.

A travers le monde, des investissements de plus en plus importants sont réalisés chaque année dans les moyens de production renouvelable comme dans les réseaux intelligents. Pour autant, les phases d’investissement dans ces deux types d’infrastructures ne sont pas nécessairement coordonnées.

Dans ce contexte, Think Smartgrids et le SER ont identifié quatre volets d’actions principaux :

– définir une offre groupée « production et intégration d’énergies renouvelables sur tous types de réseaux » afin de développer l’exportation de solutions françaises à l‘international dans ces deux domaines.
– Etablir des collaborations bilatérales dans le domaine de la formation, permettant d’identifier les besoins des pays dont le potentiel de croissance des énergies renouvelables est significatif et les enjeux d’intégration au réseau électrique importants ;
– Mettre en relation les acteurs des deux secteurs en organisant des rencontres qui leur permettront d’échanger sur de futures opportunités, et d’identifier les axes de collaboration industrielle pour développer une offre couplée « énergies renouvelables/réseaux intelligents ».

– Accroître la visibilité commune des deux secteurs :  un groupe de travail ad hoc sera créé afin d’identifier des actions à mener conjointement sur des zones et pays prioritaires pour le développement de ces filières. Ces actions seront mises en avant lors d’un événement de renommée international

Ainsi que le précise Philippe MONLOUBOU : « Cet accord de partenariat est une chance pour nos deux filières : les entreprises des énergies renouvelables et des réseaux intelligents vont pouvoir développer leurs synergies à l’international, pour créer ensemble de nouveaux emplois ».

Jean-Louis BAL : « Les professionnels des énergies renouvelables souhaitent ce rapprochement avec les acteurs des réseaux intelligents  en France car ensemble, notre offre a plus de force à l’international ».

Sebastien Lecornu , secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique et solidaire conclut : « La signature de cet accord de coopération va accompagner la structuration d’une filière industrielle française capable d’exporter notre savoir-faire à l’international. A l’avenir, les réseaux intelligents joueront un rôle clé pour l’intégration des énergies renouvelables dans les réseaux de distribution et permettront d’assurer l’équilibre entre offre et demande d’électricité. »

Pour mémoire, Think smartgrids et le SER avaient réalisé une première action de valorisation commune lors du salon EBTKE Conex qui s’est déroulé en Indonésie du 13 au 15 septembre 2017, sous l’égide du club Energies renouvelables et smart grids créé par l’ambassade de France.

Quelles sont les compétences attendues en matière de Smartgrids par les industriels ?

Paris, le 8 juin 2017. L’association Think Smartgrids qui a pour objectif de développer la filière Réseaux Electriques Intelligents (REI) en France et de la promouvoir en Europe comme à l’international,  a dévoilé son étude sur les compétences attendues par les industriels en matière de smartgrids.

La France se place en tête de file en Europe dans les smartgrids et détient 10 % du marché mondial grâce à un éco système complet d’entreprises composé de start-ups, PME, grands groupes qui génèrent un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards d’euros.

Les smartgrids représentent une rupture technologique dans le monde de l’énergie avec des besoins nouveaux en termes de réglementation et de nouvelles technologies. Aujourd’hui les profils que cherchent à recruter les entreprises doivent s’adapter à ce nouveau modèle.

La commission formation de Think Smartgrids, présidée par Nadia Maïzi, Professeure et directrice de Laboratoire de recherche à MINES ParisTech, et son rapporteur  Ronald Kubelec, Directeur Technologie et Innovation au sein de la division Energy Management de Siemens France ont interrogé les membres de l’association.  16 entreprises ont répondu, qui représentent près de 2300 emplois dans les smartgrids et interviennent aussi bien dans le stockage, l’IT, l’intégration d’ENR… Cette enquête a débouché sur une catégorisation  des compétences attendues des industriels notamment en cybersécurité / Big Data / Intelligence Artificielle/ règlementation/ Analyse des impacts environnementaux.

Comme l’indique Ronald Kubelec «  il ressort de l’étude que les entreprises cherchent des ingénieurs avec des doubles compétences, par exemple flexibilité du réseau et big data. »

Les entreprises interrogées ont l’intention de recruter, en 2018, plus de 300 personnes avec à la clé des rémunérations de 22 à 33 K euros pour les techniciens et de 30 à 50 K Euros pour les ingénieurs.

Nadia Maïzi poursuit « C’est aussi pour cette raison qu’il est important de coordonner notre travail avec le monde académique.» Think Smartgrids a également dressé une cartographie des formations existantes en France, auxquelles sont décernées une accréditation par l’Association Think Smartgrids.

A ce jour 31 formations 3 BTS, 6 Licences et 22 Mastères ont été recensées dans les plus Grandes Ecoles ( Centrale Supelec,  Ecole des Hautes Etudes d’Ingénieurs de Lille, Mines ParisTech…) et Universités (Paris-Diderot, Grenoble INP/ENSE 3,..)  Elles allient en partie des domaines tels que les systèmes électriques, les TIC, les aspects règlementaires et sociétaux.

Toutes les données : Cartographie complète

 

L’association Think Smartgrids signe ses deux premiers partenariats en Asie du Sud Est

Paris, le 30 mars 2017. Dans le cadre du voyage du Président de la République française en Asie du Sud Est, Philippe Monloubou, Président de l’association Think Smartgrids, et membre de la délégation de chefs d’Entreprise, vient de signer deux conventions pour de futurs projets de Recherche et Développement et de formation : l’une avec PLN, le grand électricien indonésien et l’autre avec Nanyang Technological University (NTU) de Singapour, classée parmi les 15 premiers établissements d’enseignement supérieur dans le monde

L’expérience de la filière française des smart grids au travers de ses 120 démonstrateurs et le déploiement à grande échelle des programmes Flexgrid, SMILE et   You & Grid qui sont actuellement développés en France trouvent un parfait écho au travail de l’université et au besoin d’accompagnement de PLN.

L’université NTU qui développe via le démonstrateur Renewable Energy Integration Demonstrator – Singapour (REIDS), une plateforme R&D spécialement conçue pour une énergie renouvelable et accessible à tous en Asie du Sud-Est, peut avec Think Smartgrids trouver un appui sur des activités smartgrids et microgrids et leur développement en Asie.

Dans le cadre du Memorandum of understanding (MoU) signé avec l’indonésien PLN, Think Smartgrids formera 20 ingénieurs de PLN en France sur les smart grids et les aidera à réaliser une étude de faisabilité sur les iles indonésiennes en matière d’implantation d’un système smart grids complet.
Ce deuxième MoU, signé en présence de Jean-Yves Le Drian, Ministre de la Défense et Président de la région Bretagne, ainsi que de Christophe Sirugue, secrétaire d’Etat, chargé de l’Industrie, du Numérique et de l’Innovation fait suite à un rapprochement de l’Indonésie et de la France sur le développement des ENR et leur intégration sur les réseaux électriques.

Ce partenariat avec PLN renforcera les relations entre la France et l’Indonésie sur les activités en matière de réseaux électriques intelligents en coopérant sur des actions communes.

Les technologies du smart grids, en intégrant davantage d’énergies renouvelables, en développant l’efficacité des réseaux et en permettant une consommation maitrisée participent à la lutte contre le changement climatique.
Philippe Monloubou : « Nous sommes ravis de ces premiers partenariats à l’international. » Et poursuit : « La France a un savoir-faire unique sur l’ensemble de la chaîne de valeur smartgrids de la transmission à la distribution qui incluent l’intégration des énergies renouvelables, le stockage, les micro grids aussi bien sur le continent que sur des iles.  Ce sont aussi de belles opportunités qui s’ouvrent pour les entreprises partenaires de l’association. »

Rencontres fonds d’investissement / PME des Smartgrids – L’association Think Smartgids accompagne le financement de PME innovantes

Paris, le 17 mai 2016. L’association ThinkSmartGrids, sous l’égide de la Commission PMEs et Innovation et en partenariat avec l’AFIC, organise le 19 mai 2016 des rencontres entre les fonds d’investissement et les start-ups/PMEs de la filière française des smart grids,  un évènement destiné à promouvoir l’investissement d’avenir.

Invest in Smartgrids regroupera les PME sélectionnées au sein des pôles de compétitivité et de l’association, et  les fonds d’investissement intéressés pour des rendez-vous en one-to-one de 30 minutes.

Cette rencontre va permettre aux fonds d’investissement et aux acteurs du monde financier de participer au développement du marché des smart grids en France. Elle permettra aussi à une quinzaine de PME et start-ups des smart grids de créer de premiers échanges ou développer un suivi dans le cadre de projets de levée de fonds.

L’enveloppe de besoin en financement s’élève à environ 20 millions d’euros  pour accompagner des projets tels que des solutions de maîtrise d’énergie, des plateformes de modélisation et de simulation, des analyses de la performance énergétique du process industriel ou encore un service de prévision de la production solaire …..

Les rendez-vous seront suivis par une table ronde qui se concentrera sur le futur des marchés des réseaux électriques intelligents. La table ronde rassemblera plusieurs acteurs de la filière, et notamment Philippe Monloubou, président de l’association, Laure Reinhart, directrice des Partenariats Innovation BPI France, Sophie Paturle, présidente du Club CleanTech de l’AFIC et Hugues de Bantel, co- fondateur et DG de The Cosmo company.

Le programme :

De 15h30 à 17h30, les rendez-vous entre PME et Investisseurs,

De 17h30 à 18h30,  table ronde sur le marché des réseaux électriques intelligents,

A partir de 18h45, un cocktail de networking pour réunir tous les participants.

Rappel des chiffres clés de la filière

25 000 

Emplois directs en France d’ici 2020 (objectif)

6 milliards d’euros

de chiffre d’affaires dont 50 % à l’export (estimation de 2014)

30 milliards d’euros

Estimation annuel du marché mondial (estimation de 2014)

 

Les acteurs des réseaux électriques intelligents votent leur charte éthique et se donnent un plan d’action pour 2016

Paris, le 29 janvier 2016. L’association professionnelle Think Smartgrids, créée en avril 2015 dans le but de développer la filière des réseaux électriques intelligents en France et de la promouvoir à l’étranger, a tenu le 28 janvier sa première Assemblée Générale extraordinaire afin d’adopter sa charte éthique, d’y adapter ses statuts et présenter son plan d’action 2016

Afin de travailler dans le respect du droit de la concurrence, Think Smartgrids s’est dotée le 28 janvier d’une charte éthique, qui permettra à ses 80 membres de bénéficier de règles claires de collaboration.
2015 année de construction
M. Monloubou, président du directoire d’ ERDF et président de Think Smartgrids, a rappelé que l’association avait atteint ses objectifs pour 2015 : se structurer en finalisant sa gouvernance ; déployer de la visibilité pour ses membres à l’échelle nationale et européenne en se dotant d’une marque ; créer des commissions thématiques pour développer les réflexions communes ; promouvoir le savoir-faire de ses membres en participant à la European Utility Week de Vienne et à la COP21 ; et encourager l’innovation en participant au concours jeunes pousses destiné aux PME. Enfin, l’association a labellisé quatre campus français qui souhaitent créer une plateforme commune et distribuée de recherche : Saclay, Grenoble, Sophia Antipolis et Lille.
Ainsi, l’association a permis de finaliser en partie ou complètement les dix actions du plan « réseau électrique intelligent » initié en 2014 à la demande du gouvernement.

2016 année de mise en oeuvre

En 2016, l’association poursuivra sa mission autour de 3 axes
  •  Identifier les marchés cibles et les savoir-faire existant en France et à l’international. Elle participera notamment à l’African Smart Grid Forum en mars prochain, mais aussi à la prochaine édition de la European Utility Week à Barcelone en Novembre.
  • Décrire les savoir–faire des membres, en s’appuyant sur les résultats des démonstrateurs, travailler avec des domaines connexes pour présenter une offre intégrée. L’association participera activement à la dynamique des projets smart grids en région afin de faciliter l’engagement de tous et apporter une vision globale.
  • Développer les synergies entre ses membres, notamment une  journée open innovation PME/ grands groupes et une journée « Invest in Smartgrids » pour les investisseurs. Elle co-organisera par ailleurs un colloque international consacré aux smart grids : « du smart grid à la smart city » qui aura lieu les 17 et 18 octobre prochains à Paris.
  • Au-delà de ce plan d’action, les commissions formation, conseil scientifique, PME&Innovation, international, et le groupe de travail relations institutionnelles poursuivront leurs travaux initiés en 2015.

Rappel des chiffres clés de la filière

1

Vitrine du savoir faire français en région

Appel d’offres (candidats : Bretagne/Nord Pas de Calais/Paca…) doté de 300 millions d’euros pour le déploiement à grande échelle

4
Campus Smartgrids pour constituer une plateforme nationale de recherche, de formation et d’innovation REI : Paris Saclay, Sophia Antipolis, Grenoble, Lille (pole Médée)

100
Démonstrateurs en région pour des expériences smartgrids

85 millions d’euros
De soutien aux démonstrateurs via le Programme des investissements d’avenir

80
Le nombre de membres adhérents de l’association 2016

25 000

Emplois directs en France d’ici 2020 (objectif)
6 milliards d’euros
de chiffre d’affaires dont 50 % à l’export (estimation de 2014)

30 milliards d’euros
Estimation annuel du marché mondial (estimation de 2014)

Rey la marque simple et efficace d’International Paper

21 décembre, 2015 — Acteur majeur du marché de la ramette, International Paper modernise et développe sa marque historique Rey pour poursuivre son développement européen avec une marque usine forte. L’utilisation de la ramette est au cœur du nouveau positionnement de marque.

REY est la marque avec laquelle il est facile de travailler au quotidien, positionnement traduit par la nouvelle signature « REY une marque simple et efficace ». Le nouveau packaging Rey modernisé, confirme la simplicité d’utilisation par une mise en avant claire des applications du produit. Les solutions de packaging innovantes sont étendues à toute la gamme : l’ouverture facile de la ramette pour Rey Office,   l’emballage refermable de Rey Superior, Text&Graphics et Adagio, l’emballage transparent de Rey Adagio, la caisse 2500 feuilles de Rey Copy, Light, Office et Superior. Et pour terminer, des nouveautés, comme la caisse Rey Office en format A3 désormais disponible en 3 et 5 ramettes.

Rey est une marque de confiance, fabriquée en France dans son usine de Saillat sur Vienne dans le Limousin, un des sites les plus performants au monde pour ses émissions de CO2 et qui possède les certifications françaises et européennes le plus exigeantes : Origine France Garantie, Ecolabel Européen, FSCÒ et PEFCÔ.

Comme l’explique Cécile Boureau, Brand Manager Rey  : « Offrir des solutions pour faire de Rey la marque simple et efficace est un processus continu. » et poursuit :  « Nous sommes en permanence à la recherche d’innovations produit et service pour nos partenaires distributeurs et pour les utilisateurs de nos produits. »

Pascal Péquin directeur commercial France / Benelux : La marque Rey est vendue dans 12 pays européens et International Paper veut consolider sa présence par une offre de marques usine fortes et reconnues. Cette stratégie traduit l’engagement du Groupe à long terme sur le marché du papier non couché sans bois.

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